Quand j'étais gamin, il y a quarante ans derrière nous
En Hiver quand on avait de la neige jusqu'au nos genoux
Pas de bus pour nous emmener motif routes impraticables
Parfois pour quelques jours, nous troquions nos cartables
Pour des sacs plastiques remplis de paille ou de foin
Nous faisions la tournée du notre cher petit patelin
Pour rameuter les frères, les sœurs, les cousins, les copains
Direction la pature enneigée, verglacée du cultivateur du coin
Habillés chaudement écharpes, bottes, gants et bonnets
Nous étions équipés pour ne pas avoir la piquette et grelotter
On s'armait de pelles pour faire des virages ou des tremplins
Certains étaient des risques et tout n'avaient peur de rien
Il y en a un qui avait même ramener un capot de voiture
Après plusieurs passages la piste devenait de plus en plus dure
La vitesse devenait excessive et parfois il fallait baisser la tête
Pour éviter les fils barbelés en face qui parquaient les bêtes
Après trois heures de montées et de descentes éreintés
Nous quittions nos glissades parfois grelottants et mouillés
Retour dans nos foyers où nous attendez un chaud chocolat
Des tartines de beurres et confitures avalées devant le feu à bois
Le soir nous demandions pas nos restes aussitôt sous la couette
Nous partions au pays de Morphée avec cet après midi en tête
Le lendemain matin nous nous levions, nos corps endoloris
Un regard par la vitre voir si la neige était tombée la nuit
Si la météo était avec nous il n'y avait pas de ramassage scolaire
Donc pour nous les mômes un nouvel après midi de jeu d'hiver
Un peu nostalgique de cette époque maintenant dans le village
Plus de réunions entre gamins chacun chez soi et c'est dommage
En Hiver quand on avait de la neige jusqu'au nos genoux
Pas de bus pour nous emmener motif routes impraticables
Parfois pour quelques jours, nous troquions nos cartables
Pour des sacs plastiques remplis de paille ou de foin
Nous faisions la tournée du notre cher petit patelin
Pour rameuter les frères, les sœurs, les cousins, les copains
Direction la pature enneigée, verglacée du cultivateur du coin
Habillés chaudement écharpes, bottes, gants et bonnets
Nous étions équipés pour ne pas avoir la piquette et grelotter
On s'armait de pelles pour faire des virages ou des tremplins
Certains étaient des risques et tout n'avaient peur de rien
Il y en a un qui avait même ramener un capot de voiture
Après plusieurs passages la piste devenait de plus en plus dure
La vitesse devenait excessive et parfois il fallait baisser la tête
Pour éviter les fils barbelés en face qui parquaient les bêtes
Après trois heures de montées et de descentes éreintés
Nous quittions nos glissades parfois grelottants et mouillés
Retour dans nos foyers où nous attendez un chaud chocolat
Des tartines de beurres et confitures avalées devant le feu à bois
Le soir nous demandions pas nos restes aussitôt sous la couette
Nous partions au pays de Morphée avec cet après midi en tête
Le lendemain matin nous nous levions, nos corps endoloris
Un regard par la vitre voir si la neige était tombée la nuit
Si la météo était avec nous il n'y avait pas de ramassage scolaire
Donc pour nous les mômes un nouvel après midi de jeu d'hiver
Un peu nostalgique de cette époque maintenant dans le village
Plus de réunions entre gamins chacun chez soi et c'est dommage