Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

C’n’est pas le cas rage, mais le garage.

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
C’n’est pas le cas rage, mais le garage.

Il y a trente ans, ils avaient dit gare à l’âge,
Tout pierre, tout feu, à Pierrefeu ce garage,
Manquait pas d’air, il était gonflé ce petit,
Déjà, à l’époque, il avait bon appétit.

Peu importe si c’n’était pas académique,
Mais le cas unique, c’est celui de la mécanique,
Ils n’avaient pas la bénédiction du pape,
Pour avoir à s’occuper des soupapes.

Et depuis peu, enflés, ils se dédiaient aux pneus,
Et de toutes les tailles, ils avaient les clés, eux,
Aujourd’hui, on souffle les trentes bougies,
Quand l’étincelle du delco alimente leurs bougies.

Il n’manquait pas d’air, n’était pas con pressé,
De la musique, son air était toujours compressé,
Y’en avait sous le capot, s’envolant pour une aile,
Et d’une belle facture, la signature était d’elle.

Et pour l’avenir de leur fils, encore, il le fit,
Au fond de l’atelier, on en est déconfit,
Du carrosse, il en rit en signant la carrosserie,
Des belles voitures en une plus bielle allégorie.

Avec tes clients et tes amis,
Sommes aujourd’hui réunis,
Afin que demain encore ça s’accélère,

Pour vous souhaiter un grandiose anniversaire.